De l’intérêt d’un arrêt de travail pour allaitement

Q :

 Je n’ai pas tout compris dans tes messages.

 Parles-tu des 4 semaines de "congés maternité" supplémentaires du post-partum ou d’un véritable "arrêt de travail" ?

J’ai parlé d’arrêt,

Le congé d’allaitement n’existe pas (sauf pour les femmes médecins conseils de la sécu) et ne peut donc être prescrit, nous sommes d’accord

 (Pas plus que les horaires de "sortie libres" qui ne sont que des certifications "de convenances",

 ou les autorisations de déplacement pour "vacances pendant l’arrêt" (ce qui est un paradoxe)

Je parle donc d’un arrêt de travail de 28 jours consécutifs y compris les dimanche et jours fériés, soit 4 semaines pleines à condition

1- Que la femme alllaite à 100%

2- Qu’ils soient prescrits en suite immédiate de congés post natals

3- Qu’il n’y ai pas d’autre solution sociale alternative

4- Enfin que l’entreprise ne puisse pas offrir un encadrement professionnel conforme à la réalisation d’un allaitement intégral (ou plutôt d’un sevrage progressif) sur les lieux du travail, dans le cadre de la mission de l’employée.

Si toute ses conditions sont réunies, je pense simplement que

"Le service rendu par 4 semaines suppémentaires d’arrêt en post partum est bien supérieur à celui en prénatal" (pour lesquels on se pose beaucoup moins de question, et qui au contraire semble générer de la iatrogénie ...)

Cela dit, je pense qu’ils existent certainement des solutions sociales alternatives

Et que le role du médecin "Conseil", seraient plus de les proposer que de simplement se borner à sanctionner systématiquement pour améliorer son propre quota...

Il s’agit donc simplement de mieux répartir les ressources sociales en "ceux qui y ont droit " et "ceux qui en ont besoin"

dépenser pour gaspiller, ou dépenser pour traiter

Eternel problème...